A chaque marche qu'il franchit dans
l'exercice du pouvoir, il chute et se fait mal. Et comme un enfant
gâté et complexé, il reporte sur les autres ses propres turpitudes.
Dernière chute à Grenoble!
Par principe soyons clair et précis
car des esprits mal bouchonnés pensent le contraire: à gauche,
comme à droite, bref en République, personne, absolument personne
ne compatit sur le sort de délinquants et approuvent les sanctions
données par la justice quand des actes délictueux sont accomplis!
Mieux je revendique autant que d'autre
la nécessité du respect dû aux agents de la force publique.
Mais une fois cela dit, je ne reconnais
pas les dérapages de l'actuel président de la République. Une fois
de plus si cela s'envenime , il y est pour beaucoup, car incapable
d'être un visionnaire et de donner du sens à l'action politique. Il
est « petits bras », à chaque jour son annonce, souvent
plus outrancière que la veille.
Car enfin « retirer la
nationalité française à des citoyens nés sur notre sol…Mais où
va t il ? Faut-il recherché chez chacun (e) ses origines? Faut-il
plus s'attarder sur la couleur de peau pour déterminer la
délinquance?
Faire cela, dire cela c'est avant tout
instiller chaque jour aux jeunes de notre pays et de nos quartiers
populaires, que ce pouvoir, ce président ne les aiment pas.
Alors dans l'escalade verbale et
d'actions, jour après jour, le pouvoir rejette sa jeunesse, sa
créativité, son intelligence.
N. Sarkozy ne le comprend pas, et crée
la violence que nous voulons les uns comme les autres voir
disparaître.
Les jeunes des quartiers populaires
sont nos « sabras ».