Voilà, les mots du ministre ont mis le feu à la poudrière et après 10 nuits d’angoisse, les premières répercussion financières tombent.
Les maires et leurs équipes étaient bien seul pendant les émeutes pour obtenir un retour au calme. Il a fallu ensuite estimer le montant des dégâts de toutes ces violences urbaine (pour Bondy près de 300 000 euros), faire disparaître les stigmates de ces terribles nuits.
Et bien en plus les assureurs ne perdent pas de temps: pour nous + 30% de cotisations suplémentaires (soit environ 50 000 euros), le montant des franchises qui passe à 2 millions d’euros et plus aucun remboursement si de telles violences étaient la cause de nouveaux sinistres.
Bref, il faut aussi dire merci car les assureurs nous indiquent qu’ils pourraient tout simplement refuser de nous assurer.
Au royaume des inégalités sociales, le pouvoir n’a pas honte.