A ne plus rien n’y comprendre, la juge voulait savoir, sans ambiguïté qui est le propriétaire de la rue communale R. Salengro. Qui dit communale dit mairie, mais bon, la justice a des chemins bien à elle pour établir son raisonnement.
Nous avons donc fournit dès le lendemain de l’audition, une copie certifiée conforme des délibérations du conseil municipal de 1988 attestant que la rue communale…est bien communale.
Cette demande aurait aussi pu être formalisée il y a de nombreuses semaines, et non pas le 9 juillet dernier, soit pas moins de 9 mois après le drame.
Que cherche t-on? Je l’ignore, mais nul autre drame ne voit une rue condamnée aussi longtemps.
Les commerçants et riverains se désespèrent, et je les comprends.
Alors ? Mme la juge Gonzales m’a informé qu’elle ferait par courrier , connaître sa décision et les conditions de la réouverture. Quand ? Elle seule semble le savoir, puisque la date du 30 juin annoncée par téléphone, est dépassée.
La justice a , c’est vrai des côtés obscurs, et nous tous les jours nous guettons le facteur.