SAMARA, la loi de l’indifférence programmée.
Tous les ingrédients sont réunis: le cloisonnement des équipes d’adultes, parents seules, professeur qui enseigne sans coordination avec l’équipe « administrative » du collège et jeunes collégiens plus absorbés par les réseaux sociaux que par l’acquisition des savoirs.
Un drame « banal » pour certains, que le tabasse à mort de cette jeune élève sur le parvis de l’établissement.
A cela, on ajoutera la parole d’un adjoint au maire qui, interrogé sur cette folie qui vient de se dérouler, oui en 2025…Et pas maintenant on installera des caméras aux abords du collège (sic!).
Quel agglomérat de ratés qui on entrainé Samira aux portes de la mort, du lynchage en bande organisée.
Il semblerait, mais est-ce étonnant, que tout cela partirait d’une pression communautarisme sur le paraître; comment une jeune ado, une beurette osait-elle s’affranchir du code vestimentaire et de pensée de la religion?
Qui pourrait affirmer que les adultes du collège ne voulait pas affronter cette atteinte à la laïcité pour eux mêmes?
Il faudra une justice qui ne tremble à aucun moment pour punir les auteurs de cette tentative préméditée d’assassinat.
Mais il faudra sûrement que l’éducation nationale soulève son tapis, il en va de la cohésion nationale.
