En mars, le nombre de demandeurs d’emploi sans aucune activité (catégorie A) a baissé de 60 000 (soit -1,7 % par rapport à février) en métropole pour s’établir à 3,531 millions. Un reflux d’une telle ampleur ne s’était jamais produit depuis le début du quinquennat. Il faut remonter à septembre 2000 pour retrouver une diminution aussi marquée en valeur.
Cette baisse du chômage s’accompagne d’une accélération de la croissance et de la consommation. Il faut y voir les premiers résultats de la politique menée par le Gouvernement : pacte de responsabilité et de solidarité, plan d’aide à l’embauche dans les PME, plan de formations massives pour les demandeurs d’emplois et effort porté sur l’emploi des jeunes.
Bien que ces indicateurs soient très encourageants, cela n’est pas suffisant et trop nombreux sont encore ceux qui ne trouvent pas d’emplois, qui se trouvent en situation de précarité ou de pauvreté. Aussi est-il nécessaire de poursuivre les actions menées pour gagner la bataille de l’emploi.