Dans le journal Le FIGARO édité ce week end, monsieur François RIVIERE, président du jury du concours national des villes découvre avec sa noble fonction q’il existe des centres villes et que contre toute attente des élus locaux s’occupent aussi de les réaménager sans penser aux seuls quartiers périphériques.
Ce que semble méconnaître ce monsieur choisi par le gouvernement, c’est que nous élus locaux travaillons à l’unité de nos villes. Dès lors il n’existe pas pour nous de différences à entreprendre pour faire vivre une ville. Comment imaginer un seul instant que des quartiers pourraient être délaissés?
En fait, le concours qui aurait dû être mis en oeuvre par les pouvoirs publics pouvaient comprendre les actions pour désenclaver les villes de périphéries.
Car, à mon sens, c’est la que réside la plus grosse difficulté urbaine, ces villes qui sont des zones de moindres services: moins d’offre diversifiée de logements, moins de centres culturels (cinéma, médiathèque, salle de spectacle ou de théâtre), moins de commerces de qualité et diversifié et moins de transports….
Nous avons un grand chantier en cours pour faire de ces villes des espaces conviviaux dans la périphérie des métropoles. Et il faut chaque jour se battre contre la concentration vers la centralité de la métropole de tous les services qu’il faut agir.
François RIVIERE, dans sa mission devrait méditer sur cette réalité, les coeurs de villes populaires ne sont pas oubliés des élus locaux, mais ces derniers ont à lutter contre l’aimant des métropoles.
