Le jour d’après

A peine l’élection achevée qu’il faut continuer à se mettre debout. Certes, la victoire de N. Sarkozy est nette, il est désormais le nouveau Président élu et les français le lui ont dit clairement.
Mais il y a aussi les résultats de Ségolène, et pardon de m’y attarder mais vous connaissez mon attachement à "ma candidate préférée".
Son résultat est bon, prometteur, car enfin au soir du premier tour qu’avions-nous en réserve de voix à gauche: rien ou presque. Je veux bien que les différents (es) candidats (es) à gauche crient au loup sur le vote utile, mais leurs spécificités n’ont guère convaincu. Et Ségolène jusqu’au dernier jour est allée chercher les électeurs qui pouvaient ne pas vouloir de N. Sarkozy à la tête de l’Etat. Il en a été autrement, et rien ne lui a été épargné à Ségolène dans ces 15 derniers jours.
Aujourd’hui, j’entends déjà ceux qui veulent fermer le dossier des présidentielles, l’enfermer dans un classeur et l’archiver si haut sur les étagères de la rue de Solférino, que la poussière recouvrira cette archive très vite.
C’est aller trop vite en besogne! Car Ségolène a ouvert un immense champ d’espoirs, il suffisait de voir le contraste accablant hier soir entre les militants (es) dans la rue et les éléphants (es) heureux d’être retenus loin sur des plateaux de télés et radios.
Pour les législatives dans 5 semaines comme pour la gauche à rebâtir, qui d’autre que Ségolène peut conduire ce chantier?
A mon humble avis, et parce que pratiquement depuis le début j’ai cru en elle, je le dis: aucun autre n’est en capacité de le faire.
Merci Ségolène de ne pas avoir voulu  fuire ta responsabilité et de relever ce nouveau défi, avec nous.

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Le blog de
Gilbert Roger

Ce BLOG est mon outil pour communiquer sur mes passions comme la gastronomie, les livres ou les voyages.

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