Pour tenter de discréditer un peu plus Ségolène ROYAL auprès des militants(es) qui devront choisir en Novembre prochain, le dernier argument gros comme une ficelle est l’expérience face à l’épreuve: que ferait Ségolène en cas de conflit grave, suivez mon regard dans la crise du LIBAN.
Et là d’aucun développe l’idée simple (De VILLEPIN en fait autant face à SARKOZY) il faut une bonne vieille crise internationale et l’expérience d’un ancien premier ministre socialiste (au fait lequel?) pour être sûr que le futur président saura réagir avec discernement!
Franchement, la ficelle est un peu grosse car enfin faut-il espérer des crises internationales à répétition pour faire peur aux militant(es)? Et puis dans l’adversité, soyons assuré que les français attendent plutôt quelqu’un de protecteur aux valeurs morales au dessus de tout soupçon…Et là tous les socialistes sont en capacité qu’ils aient été ancien Premier, ou ancien ministre.
On ne persuade pas en faisant peur.
